Back for good
Difficile, le retour de vacances...
Il fait tellement bon vivre à Bali (je ne résiste d'ailleurs pas à l'envie de vous montrer mes photos) que je serais facilement resté là-bas deux ou trois semaines supplémentaires.
Du coup, « l’atterrissage » à Paris m’a pris 2 semaines et, histoire de clore une fois pour toutes la question des vacances, je suis reparti 5 jours dans le sud de la France, rejoindre des amis du côté de Hossegor…
Trois semaines en Indonésie + 2 semaines à cuver ma nostalgie balinaise + 1 semaine dans le sud = 6 semaines de congés.
Non lectrice/lecteur, je ne suis pas devenu fonctionnaire à l’arrivée de l’été.
Je suis officiellement sorti de la matrice.
Exit l’univers stratifié de l’entreprise, bonjour l’ANPE, les Assedics et, surtout, bonjour la nouvelle vie de réalisateur en quête d’existence professionnelle.
J’ai décidé de lancer un site « pro », sorte de vitrine de mon travail. L’idée est de présenter quelque chose de plus efficace qu’une page dailymotion relativement bordélique ou que ce blog dont la vocation première n’est pas uniquement de diffuser mon boulot.
C’est Kinosam, fidèle lecteur de ce blog, qui se charge du développement du site.
Unissons nous par l’esprit pour lui envoyer quelques bonnes ondes de créativité.
En parallèle, je travaille sur un scénario de court métrage tiré d’un fait divers, en collaboration avec une société de production, et je planche sur la prochaine session des Filmistes Associés.
Ayé, c'est parti.
Le plus difficile, au début, est de se créer une structure de travail.
Dans le monde de l’entreprise, c’est l’entreprise elle-même qui impose une structure aux individus. Des horaires, un rythme, des réunions, etc…
Lorsqu’on est seul chez soi, c’est beaucoup moins évident. Ça nécessite une période d’adaptation. Le temps de réaliser que non, regarder 4 épisodes de Lost à la suite tout en vidant un pot de Ben & Jerry's, ce n'est pas le meilleur moyen d'atteindre mon objectif.
Mais une fois que la digestion des vacances est achevée, l'envie revient d'elle même, et je n'ai pas besoin de me pousser beaucoup pour me mettre au travail.
C'est alors que je réalise que, forcément, j'ai fait le bon choix.
A très bientôt.
Il fait tellement bon vivre à Bali (je ne résiste d'ailleurs pas à l'envie de vous montrer mes photos) que je serais facilement resté là-bas deux ou trois semaines supplémentaires.
Du coup, « l’atterrissage » à Paris m’a pris 2 semaines et, histoire de clore une fois pour toutes la question des vacances, je suis reparti 5 jours dans le sud de la France, rejoindre des amis du côté de Hossegor…
Trois semaines en Indonésie + 2 semaines à cuver ma nostalgie balinaise + 1 semaine dans le sud = 6 semaines de congés.
Non lectrice/lecteur, je ne suis pas devenu fonctionnaire à l’arrivée de l’été.
Je suis officiellement sorti de la matrice.
Exit l’univers stratifié de l’entreprise, bonjour l’ANPE, les Assedics et, surtout, bonjour la nouvelle vie de réalisateur en quête d’existence professionnelle.
J’ai décidé de lancer un site « pro », sorte de vitrine de mon travail. L’idée est de présenter quelque chose de plus efficace qu’une page dailymotion relativement bordélique ou que ce blog dont la vocation première n’est pas uniquement de diffuser mon boulot.
C’est Kinosam, fidèle lecteur de ce blog, qui se charge du développement du site.
Unissons nous par l’esprit pour lui envoyer quelques bonnes ondes de créativité.
En parallèle, je travaille sur un scénario de court métrage tiré d’un fait divers, en collaboration avec une société de production, et je planche sur la prochaine session des Filmistes Associés.
Ayé, c'est parti.
Le plus difficile, au début, est de se créer une structure de travail.
Dans le monde de l’entreprise, c’est l’entreprise elle-même qui impose une structure aux individus. Des horaires, un rythme, des réunions, etc…
Lorsqu’on est seul chez soi, c’est beaucoup moins évident. Ça nécessite une période d’adaptation. Le temps de réaliser que non, regarder 4 épisodes de Lost à la suite tout en vidant un pot de Ben & Jerry's, ce n'est pas le meilleur moyen d'atteindre mon objectif.
Mais une fois que la digestion des vacances est achevée, l'envie revient d'elle même, et je n'ai pas besoin de me pousser beaucoup pour me mettre au travail.
C'est alors que je réalise que, forcément, j'ai fait le bon choix.
A très bientôt.